WHATSUPDOC?

AGENDA

©Isabelle Lévy

Parution en mars 2004 des "Moments oulipiens" aux éditions du Castor Astral. Anne Garréta y participe en racontant la journée de la remise du prix Médicis.

7 novembre 2002: Anne Garréta a obtenu le Prix Médicis pour son dernier roman, "Pas un jour".

>"Pas un jour", cinquième roman d'Anne Garréta, est sorti le 27 août en librairie, aux éditions Grasset.

Vous pouvez en lire un extrait (l'ante scriptum) et la quatrième de couverture.

Et un autre extrait sur le site des éditions Grasset et Fasquelle.

En ligne: une digression sur le roman et la lettre à l'auteur du webmestre sur Pas un jour.

Radio: On peut écouter une intervention d'Anne Garréta sur le site France Culture.

Rencontres et lectures

>Mardi 1 er juin 2004: Anne Garréta participe au colloque organisé par l'Ecole normale supérieure (48 bd Jourdan, Paris 14e, Grande salle)

UNIONS EN TOUS GENRES

MATIN : 10h30-12h30

- Ouverture : Didier Eribon : Anti-Oedipes

- Zrinka Stahuljak : Légitimité du couple et réalités politiques au
Moyen Age
- Brigitte Mahuzier : Pactes proustiens.
- Laure Murat : De la romantic friendship à la sexualisation
du couple.
- Elisabeth Ladenson : Gertrude et les autres : une archéologie
littéraire du couple lesbien.

Discussion

APRES-MIDI : 14h30-17h30

- Rémi Lenoir : Faut-il célébrer le Code civil ?
- Anne F. Garréta : La religion du mariage.
- Christelle Hamel : L'exemple d'un mariage hétérosexuel chez les
gays et les lesbiennes issus de l'immigration maghrébine.

Discussion

- René Schérer : Variations critiques sur le couple.
- Françoise Gaspard : Pourquoi je ne veux pas me marier, et pourquoi
je veux me marier.

>Le 7 novembre second jeudi de l'oulipo à Jussieu, amphi 24, à 20h.

>Le 30 octobre, rencontre à FNAC d'Angers à 17 heures

>Le 9 novembre entre 9h30 et midi à L'ASIEM, rue Albert de Lapparent, 75007 avec Jacques Roubaud et Marcel Benabou à l'occasion de la sortie d'un intéressant ouvrage intitulé "789 néologismes de Jacques Lacan".
> Du 8 au 10 novembre Foire du Livre BRIVE (19)
>Le 13 novembre lecture à la Fnac de Rennes.
>Le 14 novembre lecture à la librairie Ombres Blanches à Toulouse.
>Le 15 novembre lecture à la Fnac d'Annecy.
>A Paris le 16 novembre, lecture à la Librairie Le Divan (203 rue de la Convention, Paris 15è) à 17 heures.
>Le 17 novembre foire du livre de Toulon.
>Dimanche 1er décembre à Paris, signatures organisées par le Figaro.
>Dimanche 15 décembre, après-midi: Salon des prix littéraires à la BN Richelieu.

>Jeudi 9 janvier 2003, séance oulipienne, Université Paris 7, campus de Jussieu, amphithéâtre 24.

>Samedi 22 mars 2003, salon du livre de Paris: dédicace sur le stand Grasset, 15 heures. Parc des Expositions de la Porte de Versailles, Hall 1, 75015 Paris.

Articles de presse

-Entretien publié dans le magazine Cancer!, décembre 2002.

>Article d'Emmanuel Tibloux dans Art Press n°283, octobre 2002.

>Article de Valérie Marin La Meslée dans Le Magazine Littéraire d'octobre 2002.

> Le Monde du jeudi 5 septembre 2002 consacre sa page II à Anne Garréta. Josyane Savigneau critique "Pas un jour": un article subtil et intelligent.

> L'article de Jérôme Garcin dans le Nouvel Observateur du 19 septembre 2002. Have fun.

> Un article de Jean-Pierre Longre sur Sitartmag.

> Article de Thomas Clerc dans les Inrockuptibles du 4 au 10 septembre intitulé "Garder la ligne".

Titre étrange, finalement, mais qui a au moins le mérite (comme celui du Monde) de poser quelques bonne questions et de ne pas se noyer dans des thématiques peu reliées au sujet.

>Article du Figaro du 4 septembre 2002 intitulé "Des romans parlent de femmes entre elles".

> Interview réalisée par Baptiste Liger dans le numéro de septembre 2002 de Têtu.

> Article de Mathieu Lindon dans Libération daté du 29 août: "Garréta, vice et damnation". Où l'on peut lire ceci en particulier:

«L'incrédulité seule est vicieuse», écrit Anne F. Garréta, et aussi : «L'ironie seule est damnable.» Elle est à la recherche du vice et de la damnation. De quelque façon qu'on la manipule, l'autofiction est d'une grande aide pour des buts si estimables".

> Article daté du Nouvel Observateur intitulé "Mais comment font les libraires?" où l'on peut lire ceci:"

" Les libraires font également l’éloge d’Anne F. Garréta, qui publie un recueil de courts récits sur le thème du désir, intitulé «Pas un jour» (Grasset). «Un texte d’une sensibilité très forte, commente-t-on en chœur chez Ombres blanches, où le livre est passé d’une table de nuit à l’autre au cours de l’été. Anne F. Garréta est oulipienne, elle se met sous contrainte et le fait de manière très fine. En l’occurrence, il s’agissait d’écrire cinq heures par jour un souvenir, et de ne rien corriger. Son ouvrage est un grand Lego très intelligent. Cette jeune femme écrit comme peu de jeunes gens écrivent en France.» «J’aimerais que les hommes écrivent sur les femmes comme elle», acquiesce Marianne Riou, de la librairie Page à Page à Paris. Et de conclure: «C’est un livre qui donne envie d’être homosexuelle.»

>Première page des nouvelles Nuits (1994) et Vol (1990).

>Une présentation hors-commerce de la Décomposition et la quatrième de couverture.

>Des extraits du manuscrit de la Décomposition.

>Une nouvelle page: La case vide

"La Décomposition", le dernier roman d'Anne Garréta publié par Grasset en 1999, est paru en poche, collection Le Livre de Poche, en avril 2002.

-Signalons le numéro de mai du "Magazine littéraire" consacré à l'Oulipo (Ouvroir de Littérature potentielle) fondé par Raymond Queneau, qui comporte un court portrait et un entretien avec Anne Garréta ainsi qu'avec les oulipiens vivants (les morts, quand à eux, qui font l'affront d'être absents, ont droit à des portraits plus longs). Un numéro bien réalisé avec les Oulipiens.

- Le forum du séminaire d'Alain-Philippe Durand sur les "Non-lieux dans la littérature française contemporaine" comporte une discussion sur "Sphinx" avec une intervention d'Anne F. Garréta. A lire sur http://network54.com/Hide/Forum/98816

-Anne Garréta a écrit son "journal de la semaine" dans le quotidien "Libération" le samedi 16 décembre 2001.

Intitulé "Infoutue de tenir boutique des jours", nous pourrions le résumer, en assumant le risque de trop schématiser l'approche, en écrivant qu'il montre à quel point la passion de l'enseignement peut s'apparenter à un sacerdoce et démontre que l'hérésie et l'ironie peuvent être une manière d'appréhender le monde et la marche du temps.


Archives des actualités

 

-Derniers articles d'Anne Garréta prévus dans des revues littéraires et de sciences humaines: son intervention au collège international de philosophie (dans le cadre du séminaire sur la fiction) sur les fictions politiques et juridiques (en rapport avec les fictions plus strictement "littéraires") sera publiée, avec des ajouts et corrections, dans la revue française"Littératures". Les "Yale French Studies" publieront également dans leur prochain numéro un article sur le PACS et la parité.

-Professeur invité à l'Université de Duke, Anne Garréta a enseigné pendant le second semestre 2001 un séminaire sur la "Crise d'identité masculine en France" à travers la littérature (de la Renaissance à nos jours) et un autre sur les pactes fictionnels (auteur/lecteur, différentes formes de fictions, leurs fonctions et leurs effets).

-Les interventions du colloque intitulé "Cinq essais sur la fiction" seront mises en ligne dans les mois à venir sur le site de Fabula dans le cadre du colloque en ligne sur "L'effet de fiction".
(Le séminaire du Collège International de Philosophie (oct.-déc. 2000) «Cinq essais sur la fiction» , avec Claire Beyssade, Anne Garréta, Christine Montalbetti, Catherine Perret, Tiphaine Samoyault.)

-La conférence d'Anne Garréta intitulée intitulé "National identity and Literature: the Imaginary France, donné le 9 décembre 2000 au cours du colloque "Globalization and Cultural Diversity in Europe " (Mondialisation et diversité culturelle en Europe) organisée à l'Universite Notre-Dame (Indiana) par le Nanovic Institute for European Studies sera disponible dans les prochains mois dans un recueil des interventions de ce colloque.

-Décidément, Anne Garréta est à l'honneur chez les écrivains... Dans le dernier livre de Christine Angot, "Quitter la ville" (Stock), l'auteur fait plusieurs fois allusion à Anne Garréta: elle y explique qu'elle l'aime bien, qu'elle "lui raconte des trucs" sur Grasset et qu'elles sont "si différentes". En effet, A. Garréta "a l'air si intelligente" (outre le fait qu'elle soit blonde, et Angot brune...), elle est "si cosmopolite". Enfin, notons que la réputation de personne aux bonnes maniéres indécrottables se trouve confirmée, puisque qu'Anne pousse Yves Berger à saluer Christine Angot en le prenant par le bras et faisant les présentations...Pour en savoir plus, voir la critique de "Quitter la ville" sur mon autre site

-Il y a des lectures qui donnent envie de continuer un travail entamé. Je fais ici allusion à la réponse de Beatrix Beck, vieille dame digne et si vivante, à la question posée par la Quinzaine littéraire (numéro d'août 2000). Au magazine qui lui demandait, ainsi qu'à une trentaine d'autres écrivains, ce qu'il fallait sauver du XXéme siécle, voici sa réponse: "La libération des enfants bulle, les révélations de l'ADN et un livre d'Anne Garréta, paradoxalement "Pour en finir avec le genre humain".

 

 

 

Ce site est la présentation d'une oeuvre, regroupant des travaux personnels sur "Sphinx", "Ciels liquides" et "La Décomposition", des extraits de ces œuvres ainsi qu'une série d'articles. L'ensemble constitue une introduction à l'œuvre d'Anne Garréta, réalisée avec la collaboration active de l'auteur. Les commentaires d'internautes au sujet de ce travail sont bienvenus et appréciés et si vous souhaitez écrire à l'auteur, je transmettrai. Pour m'écrire:

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