WHATSUPDOC? |
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>"Pas un jour", cinquième roman d'Anne Garréta, est sorti le 27 août en librairie, aux éditions Grasset. Vous pouvez en lire un extrait (l'ante scriptum) et la quatrième de couverture. Et un autre extrait sur le site des éditions Grasset et Fasquelle. En ligne: une digression sur le roman et la lettre à l'auteur du webmestre sur Pas un jour. Radio: On peut écouter une intervention d'Anne Garréta sur le site France Culture.
>Mardi 1 er juin 2004: Anne Garréta participe au colloque organisé par l'Ecole normale supérieure (48 bd Jourdan, Paris 14e, Grande salle) >Le 7 novembre second jeudi de l'oulipo à Jussieu, amphi 24, à 20h. >Le 30 octobre, rencontre à FNAC d'Angers à 17 heures >Le 9 novembre entre 9h30 et midi à L'ASIEM, rue Albert de Lapparent, 75007 avec Jacques Roubaud et Marcel Benabou à l'occasion de la sortie d'un intéressant ouvrage intitulé "789 néologismes de Jacques Lacan". >Jeudi 9 janvier 2003, séance oulipienne, Université Paris 7, campus de Jussieu, amphithéâtre 24. >Samedi 22 mars 2003, salon du livre de Paris: dédicace sur le stand Grasset, 15 heures. Parc des Expositions de la Porte de Versailles, Hall 1, 75015 Paris. Articles de presse -Entretien publié dans le magazine Cancer!, décembre 2002. >Article d'Emmanuel Tibloux dans Art Press n°283, octobre 2002. >Article de Valérie Marin La Meslée dans Le Magazine Littéraire d'octobre 2002. > Le Monde du jeudi 5 septembre 2002 consacre sa page II à Anne Garréta. Josyane Savigneau critique "Pas un jour": un article subtil et intelligent. > L'article de Jérôme Garcin dans le Nouvel Observateur du 19 septembre 2002. Have fun. > Un article de Jean-Pierre Longre sur Sitartmag. > Article de Thomas Clerc dans les Inrockuptibles du 4 au 10 septembre intitulé "Garder la ligne". Titre étrange, finalement, mais qui a au moins le mérite (comme celui du Monde) de poser quelques bonne questions et de ne pas se noyer dans des thématiques peu reliées au sujet. >Article du Figaro du 4 septembre 2002 intitulé "Des romans parlent de femmes entre elles". > Interview réalisée par Baptiste Liger dans le numéro de septembre 2002 de Têtu. > Article de Mathieu Lindon dans Libération daté du 29 août: "Garréta, vice et damnation". Où l'on peut lire ceci en particulier: «L'incrédulité seule est vicieuse», écrit Anne F. Garréta, et aussi : «L'ironie seule est damnable.» Elle est à la recherche du vice et de la damnation. De quelque façon qu'on la manipule, l'autofiction est d'une grande aide pour des buts si estimables". > Article daté du Nouvel Observateur intitulé "Mais comment font les libraires?" où l'on peut lire ceci:" " Les libraires font également léloge dAnne F. Garréta, qui publie un recueil de courts récits sur le thème du désir, intitulé «Pas un jour» (Grasset). «Un texte dune sensibilité très forte, commente-t-on en chur chez Ombres blanches, où le livre est passé dune table de nuit à lautre au cours de lété. Anne F. Garréta est oulipienne, elle se met sous contrainte et le fait de manière très fine. En loccurrence, il sagissait décrire cinq heures par jour un souvenir, et de ne rien corriger. Son ouvrage est un grand Lego très intelligent. Cette jeune femme écrit comme peu de jeunes gens écrivent en France.» «Jaimerais que les hommes écrivent sur les femmes comme elle», acquiesce Marianne Riou, de la librairie Page à Page à Paris. Et de conclure: «Cest un livre qui donne envie dêtre homosexuelle.» |
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>Première page des nouvelles Nuits (1994) et Vol (1990).
>Une présentation hors-commerce de la Décomposition et la quatrième de couverture. >Des extraits du manuscrit de la Décomposition. >Une nouvelle page: La case vide "La Décomposition", le dernier roman d'Anne Garréta publié par Grasset en 1999, est paru en poche, collection Le Livre de Poche, en avril 2002. |
- Le forum du séminaire d'Alain-Philippe Durand sur les "Non-lieux dans la littérature française contemporaine" comporte une discussion sur "Sphinx" avec une intervention d'Anne F. Garréta. A lire sur http://network54.com/Hide/Forum/98816
-Anne Garréta a écrit son "journal de la semaine" dans le quotidien "Libération" le samedi 16 décembre 2001.
Intitulé "Infoutue de tenir boutique des jours", nous pourrions le résumer, en assumant le risque de trop schématiser l'approche, en écrivant qu'il montre à quel point la passion de l'enseignement peut s'apparenter à un sacerdoce et démontre que l'hérésie et l'ironie peuvent être une manière d'appréhender le monde et la marche du temps.
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